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Monument histérique ….. M’enfin!
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jeudi 12 janvier 2023 |
Écrit par Marco Pantani |
Pour le débarquement des 44 ans de Djul, ils sont tous là.
17 rideurs sachant rider Comme un gaffeur sachant gaffer !
Enfin d’autres mieux que certains
Le temps des éloges avant que le temps les déloge ….
En général les éloges on les sort aux zobs secs devant une partenaire en larme.
Si Lagaffe mérite des baffes, les biquettes méritent des Eloges
Eloges au Berger. Lui qui roule en Ford T Wrangler à Gaston. Notre Bouc et misère, désormais dans tous les bons ciné Pathé pour promouvoir la culture corse à base de brocciu & fiadone, pinzutu indépendanze !
Eloges au plus méritant du jour : le DJEP. Il a étudié le profil ADN du jeune Marco dit la Mouette à Gaston. Lui qui descend le vallon du Diable comme Aldo Macione se dirige vers la Buvette de la plage dans l’aventure c’est l’aventure. Hésitant et conquérant. Mets toi debout sur les pédales ! Lâche les freins !
Un DJEP dont le patrimoine musculaire ferait pâlir d’envie Stefan Bern spécialiste des monuments en périls et des arrières trains.
Eloges en périls au Bony… dont l’arrière train risque de souffrir dès que Jojo va lui tomber dessus. Ce dernier séduit par l’appel du Bony avait sorti du canyon son musculaire.. Il a pris cher…. On connait sa dignité sans gluten. Eloges à Jojo, qui serre les boules à la Bédoule, quand je roule tu roucoule… comment veux tu ???
Le E-Bony qui s’est pris une rafale de Kalach dans le Montoounier et qui incognito s’est refait la cerise sur l’EBIKE du GIbvador. On a tous vu la bosse sous le cuissard…; la fameuse béquille.
Eloges à GIbvador avec son engin intersidéral tout droit sorti de l’empire contre-attaque. La peinture encore fraiche comme ses blessures… C’est pas parce que tu as de la caillasse qu’il faut la jeter dans les pierrasses..
Eloges à N°14, lui le co-inventeur de l’éloge VIP au stade.. Quel physique ! surement des restes de la finale de Munich.. A quand une soirée en loge cuvée réservée Mouton biquette.
Eloges au Douma qui est resté perché avec son fromage dans le bec de selle.. Lui qui a refusé la couronne d’un gâteau servi par un dentiste. Il nous fait tous penser à Mlle Jeanne (la fiancée au Gaston) à la fois sexy et platonique avec un cœur en or.
Eloges au Doan qui revenant du pays du soleil levant s’est offert un PTB !
Eloges au KIKO n’hésitant pas à une gâterie pour suivre une piste homosexuée.
Eloges au Pilou qui donne l’asile politique à des arméniens déguisés en sangliers
Eloges au Cris qui donne ses jambes à la science et son courage à 2 mains.
Eloges au Georgio qui sait caresser les rochers avec son air de deMesmaeker, y’a du contrat dans l’air.
Eloges à Claudio qui bouffe les plaquettes comme un centre de transfusion
Eloges à Enduro qui avec un petit débattement roule comme un géant, au Montounier le vent l’emportera ! Il est un peu notre Longtarin à nous, court sur patte et nerveux comme une tique, mais quel talent au sifflet. L’ami des mouettes et champions. Blague à bulles.
Eloges à Renato dont les fans se rappellent comment cet homme inventa le mouvement Chippendales, par mouvement on attend le rythme du bassin et les brettelles pendantes
Enfin Eloges à DJUL & Maui qui nous ont concocté une balade incroyable & immonde pour les musculaires. Un départ princier et un final de Roi.
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Sur un arbre "Perché"
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jeudi 05 janvier 2023 |
Écrit par magicdouma |
On voudrait.
On voudrait ne plus avoir le souffle court. Ca va le faire la Romaine.
Prendre de la hauteur, de la grandeur. Apprécier le paysage.
On voudrait tous un bon cheval. Un cheval pour se distancer, avec des ailes.
Poussiére, misere tu ne me fais pas peur. Le désir qui passe, savoir une fois pour toute qui l'on est, quitter le bateau, étre fourbu.
Fourbus, tordus quittons fissa nos idéaux. Hello, hello, laisse moi entrevoir le chant délicat de ta voix. Un ciel bleu illumine mes sentiments.
On devrait toujours avoir les sentiments de son coeur. Comme un guerrier à l'assaut des montagnes.Tantôt tu gagnes, tantôt tu perds.
On voudrait ne plus étre un guerrier, mais un vieux guerrier. Fourbu et tordu.
Sur mon arbre, perché. Apprecier le paysage qui défile.
Et il défile de plus en plus vite.
Douma.
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BLUE COAST
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jeudi 29 décembre 2022 |
Écrit par Berger corse |
Mon bike, qui super marchait jusqu’à présent joue les récalcitrants ce matin. Trahi par selle que j’aime. Elle me prend de haut. Impossible de lui rabaisser son caquet. Du coup mon bike bodybuildé ne rentre plus dans ma tire… retard et résumé annoncés.
Ils m’attendaient tous à côté du porte-avions. Niolon, la méditerranée, un pâle soleil et mes amis ovins. Dans le désordre :
Milpat, le graveleux routeur du jour, Enduro, l’autre pulmonaire del dià (c’est comme ça qu’on appelle les musculaires en Espagne), Grishka, préteur sur gages, Jojo la bricole, celui qui fait une fixette sur la longueur du câble de mon dérailleur, Cri, notre maître à tous (si la mairie de Marseille consent toutefois à chauffer un minimum l’eau des bassins), et Magic Douma qui, ce matin, avait un compte à régler avec un escargot en particulier.
Une pensée pour les locaux absents, et pour tous les moutons dispersés ou blessés, ils auront manqué l’immanquable.
Une sortie belle comme une fille du sud, rythmée comme un zouk de Francky Vincent, variée comme une émission de Maritie et Gilbert Carpentier… une sortie stylée « place Vandôme », façon Cartier ou Bulgari, ne regardez pas à la dépense, c’est Milpat qui régale !
Mais les meilleures choses ont une fin, et même une petite faim. Champagne, Panettone et chocolats à l’arrivée, que demande le peuple ? Panem et circenses. Donne au peuple ovin du champagne et des singletracks, il ne se révoltera pas ; mets-le à l’eau du robinet sur du goudron, il se baissera pour prendre un pavé au sol !
BLUE, COLOR OF THE DAY
BLUE, BIRTHDAY AND HAPPINESS…
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LE BON TEMPS
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jeudi 15 décembre 2022 |
Écrit par Berger corse |
Je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître…
La préhistoire des moutons aubagnais. Silex in the city.
Je vous parle des premiers vélos de montagne des Pierrafeu. Sur les traces de Gary Fisher et Joe Breeze, jeans et chaussures de montagne, casques bols en polystyrène, mitaines à trous et sac à dos La Hutte.
Je vous parle d’avant les biques d’avant les moutons et même d’avant le berger. Du temps où Garlaban était encore un volcan et la carrière Bronzo une fabrique de menhirs.
Renato était un bouillant italien qui ne jurait que par Gigi Riva et Gianni Rivera, il ne ressemblait pas encore au prépubère Gad Elmaleh, et moi je n’étais pas qu’un peu fier au guidon de mon VTT 2 Peugeot Crazy Horse 1985 cadre acier Colombus les deux églises et freins canvientliver.
Je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, du temps où nous étions jeunes et beaux et nos bikes moches et fluos, le temps des « bonsoir les enfoirés ! » de Michel Colucci, des objectifs nuls, de Bedos père, et de mais vous m’avez dit de dire Hardy…
Je vous parle du bon temps.
Merci à tous de ce partage sous une pluie battante, merci de votre générosité et de votre amitié, parce que c'était vous et parce que c'était nous.
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Zizi riders
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jeudi 01 décembre 2022 |
Écrit par Marco Pantani |
9 moutons en quête d’émancipation au départ de fond blanche. Quand le berger n’est pas là les moutons rident.
- Cris en retard en slow fast depuis la Casté
- 14 avec l’arbitre de France Tunisie dans le coffre
- Jojo avec plein de chocolats pour adoucir la brigade des mœurs
- Renato en mobylette et sans protection.
- GIB en mode, le bon coin pour un Lapierre 1ère main
- Claudio première pression à froid
- Enduro déguisé en lutin
- Bony express sans la diligence mais avec du retard au démarrage
- Pantani au pilotage qui vire au pelotage des essences et roc des massifs
Un résumé zizi rider en hommage au sticker du casque de Bony, make love et ride easy
Une sortie sous le soleil malgré des trombes annoncées... comme quoi même quand le Berger n’est pas là les gouttes ne se mouillent pas
Jojo assure à la photo. On dirait le berger. Bony nous guide sur les pistes. On dirait le berger. Ça sent le putsch. Va falloir limiter les temps de paroles. La campagne est lancée et le CSA rode. Meffi…
Riders on Ze storm avec une sortie du tonnerre
Une descente sur Ceyreste par le vallon de la Poulinière, une des plus longues, une des plus folles à slalomer entre les arbres, Tomba la Bomba.
La remontée vers le plateau vers le grand final… puis c’est le coup d’assurance pour bénéficier d’un arrêt de travail immérité !
Zizi rider c’est “born to be wild”. Un Classique pour le GIB. Pour Marco c’est le retour à l’état sauvage. Après deux semonces vécues par le Jojo qui suivait le Vététiste des quartiers nord. Une descente dans les pierres à vive allure. Une perte de contrôle et cela finit dans les arbres. Bony esquisse un protocole commotion. Ça va, il se rappelle son nom. Pantani !
Plus de peur que de mal. Mais le mâle est faible comme la chair. Il s’en remettra ….
GIB sort le jus de pomme bio avant que Pantani tombe dans les pommes..
En résumé, Un jeudi sans berger c’est comme un saucisson hallal, une tromperie sur la marchandise…
Arlette nympho ;On me dit en régie qu'un moustache serai arrivé dans une demeure habitée par un corse... suivie d'une vague de suicides dans le maquis...
A suivre....
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Amitiés, mode d’emploi
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jeudi 17 novembre 2022 |
Écrit par Marco Pantani |
Difficile de résumé l’inrésumable, et là en outre de la matinée on est passé à la journée de bike, festin compris. Une journée grivoise en 2 temps et pas que 3 mouvements.
Pour changer les habitudes et à journée exceptionnelle haute en couleur et gâteries pour pas dire ivrogneries, un ABECDAIRE incomplet (sinon trop long) pour sanctifier cette journée
A comme Amitié au départ du col de l’Ange… avec Il Padre Djou, Denis & Roger et le coffre plein de vivre et de vins pour festoyer… dans le parking des anges rien ne les démange MAIS si ! dévorer les oiseaux, la selle entre les cuisses
A comme ANDARELLI en surrégime, un suppo et au lit, vite un kiss kiss gang bank et on oubliera « moi sur un rock rider plutôt mourir » manque de tact…
B comme Biquette for ever
B comme Bony au mythe quelque peu égratigné par Velo stefen King de la poussette, faut dire que le mythe était plein de myrte et qu’il finira sur la jante alu
B comme Berger abandonné, électrifié, à qui ont dit « mèffi ! » Les putschistes rodent …. dans les banquets se mitonnent les coups d’états, dans les bancaous des coups d’éclats, Berger mèffi ! Poor lonesome Berger
C comme Cris en colère «qui le disent si la sortie elle est réservée au motorisé »
D comme Djou sans qui pas de grivoiserie, grazie 1000, tellement bourré qui sur le retour a fait l’arapède dans la dernière montée à nos élec !
D comme Djep à jamais le roi du ride engagé et du rhum enragé
G comme Giacomo qui même blessé est venu avec sa saucisse grillée la politesse à Gib dont les amendes à l’apéro bike feraient lever Lazare, ce n’est pas le fruit du hasard
J comme Jojo dixit : « le Berger depuis qu’il est électrifié sa conduite est « XXXXX ‘censure’ » .. je dois le recadrer » des menaces chez les As
K comme Kiko qui sait se tenir à table et descendre bourré, oui je l’ai vu tituber entre les rochers..ouf rien de cassé
M comme Pantani, le casque de travers, le short trop remonté, les mains sur les freins et toujours le même refrain …bref le panettone en folie
N comme le prix Nobel de la bonne blague «Claude : je te dis tu peux pas le sortir de l’eau le bateau à Morgiou y’a pas de fond… « Georgio : et surtout y’a pas de grue… » quel pied ! de grue
P comme Pilou qui n’a pas refusé son coup de gnole, qui en 2040 sera le futur Berger à la pagnol
R comme Rénato parti trop tôt comme souvent les meilleurs
W comme Waouh, avant les grives l’anti-pasti servi dans les traces en balcon sur Cuges… la mer au loin, le circuit et l’aérodrome du Castellet, un tracé régalade quasi en sous-bois on se saurait cru ailleurs du vélo un peu sévère en montée mais délicieux en descente
Y comme le Yeti d’Enduro un animal mythique un vélo pour un rider lui aussi mystique avec un guidon neuf, un 80cm à faire rugir Rocco
Je ne sais pas comment je suis arrivé en vélo au parking (après avoir perdu le moteur) et à l’Estaque en voiture
Miracolo, je dirais même plus mir’alcolo
L comme ce putaing de limoncello, celui-là on s’en souviendra longtemps, dans les 60 degrés, pas su d’où venait les citrons du jardin
Tout y était, des retards au départ, un festin de roi, de la trahison, de l’amitié en tonneau….
Quelle fierté de se réunir et de festoyer avec ce gang qui sait tenir son rang
A jeudi mais là journée de la grive au jas c'est du très haut niveau
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