|
Le sort de l'orange
|
jeudi 27 mars 2008 |
Écrit par longlait |
So it should have been called "la sortie de l’orange" but instead it promised to be "la voyage a l’enfer"
Malgre le choix de cimetiere comme point de depart, tout a bien commencer comme ca c’est bien termine, donc on a du gouter Iron Man en route pour sentir l’homme qu’il est.
Pour une fois je suis arrive a l’heure (excuse me mais j’ecris sur un clavier anglais sans spellcheck et sans accents) et la seulement car j’ai eu le bon intuition d’appeller l’arracher des dents pour savoir ou se trouve le cimetiere de roquevaire !! Et oui apparement je n’etais pas le seule de confondre le roc vert avec le roc fort mais ce matin sentait plutot le roc d’azur comme il y avait un monde fou saufs, bien entendu, les absents qui ont toujours tort >> bear
Le troupeau tourne en tour brouillon attendant le feu orange qui passe au vert et puis c’est parti et on se pomme dans les sentiers qui sillion le sous bois pour retrouver les champs ou l’herbe pousse plus vert que sur le roc proverbiale
Mais le berger fais preuve qu’il est plus vite que les alliemands en tete a tete avec le mouton du nord et le troupeau tombe sur un carrefort et se met a belier et partir dans tous les sens > c’est l’endurouton qui nous remets sur le bon piste et on fini par retouver notre berger bien plus loins.
« Oh l’orange, les herbes de provence sont reserver pour la fin de sorti » dit notre seigneur
« Mais je broutais du bien bon et je ne pourrais pas dire non » dis je
« Et de tout facon il nous manque le cadre orange » j’ajoute
« il n’est pas caler ce matin donc le rendu is for you mou ton » dit notre sage, tirant sur le romarin en thyme
His tresse de pouvoir a du faire tourner ses tetes disje me et fege profil roullant pour passer le tour >
So we hit the road off cassis avant le off road cassis before the after offert par le lolo et avant l’arrivage du jour J et le tout sans gouter le potage offert par le docor jonny. Et oui je, ca a fee bain des kilo m’s kque part entre 35 et 60 et ca rouller rouller en descent et meme en monter sauf le petit passage "must" dans le tunnel bien sur
Retour a fond les manets pour un midi petillant sans bulles sur le parking ; bee oui, le lolo se boit sans alcool mais son pain se mange avec epices >>> et plus tot que tard le troppeau broutait les miettes avec un pensee pour le pick-up qu’on allait plus voir pendant bien trop longtemps
|
Sortie a 13
|
jeudi 03 avril 2008 |
Écrit par douma |
Il y avait : Stéphane, Lolo, Milpat, Globule, Michel, Chouchou, L’anglais, Didier, Claude, Georges, Renato, Jean louis et moa
Comment parler de cette sortie ?
Encore une sortie conviviale où le retour l’a été encore plus.
Merci Milpat.
Pitain de barbe.
Mais que caches tu derriere ? D’accord pas un mot cela ne nous regarde pas.
Georges nous a accueilli dans son mas de la republique.
Bon ça va aller, une petite opération, les infirmières vont te chouchouter ; Voir arriver un si beau garçon et en plus tout nu.
Ou la la... Jean Louis c’est vrai ce que tu as dis ? Ils peuvent se tromper.
Un anus artificiel OH MY GOD !!!
Surtout que pour faire du vélo tu en as bien besoin.
Sinon le pédalage a été bien réussi, notre berger était là pour y veiller.
Les chutes ont été tout en discretion mais pas plus cassante que ça.
Claude, Chouchou et Renato peut être : le nez c’était quoi ? Une branche ?...
Merci pour les pousseurs ; impressionnants dans leur rôle ainsi qu’à Mitchou mon mécano.
Merde on se croirait à une remise des césars ; non des oscars.... c’est qui Oscar ??
Bon c’est promis demain j’arrete de boire...
Un clin d’oeuil aux absents, ils se reconnaitront.
Vive les jeudi et les anniversaires de moutons !!
Douma
|
Ce jeudi 20 mars nous avions rendez vous entre Aubagne et Carnoux pour une sortie qui prouva, absence du chef de troupeau oblige, que n’est pas berger qui veux !!!
Ne maîtrisant pas encore les prénoms ou pseudos de chacun, je vais tâcher de faire au mieux. Merci pour votre indulgence.
9h : mise en place.
Le troupeau s’ébroue comme un seul mouton. L’itinéraire ayant été plus ou moins suggéré par Florent sur le forum, tout le monde part dans la même direction et c’est déjà pas mal.
9h05 : Hold up.
Premier croisement, la tension commence à se faire sentir puisque deux jeunes béliers sortent les dents pour obtenir le privilège de mener le troupeau. C’est finalement Florent qui réussira à s’imposer. La suite, vous le verrez, nous montrera que si le troupeau peu se montrer docile avec Notre Berger, il donne du fil à retordre aux jeunes brebis en mal de pouvoir.
9h10 : le télégraphe.
Là commence vraiment notre aventure, nous cheminons sur un petit sentier en fond de vallon, très agréable puis nous attaquons la longue et morne ascension du télégraphe en direction de La Candolle.
10h20 (à vue de nez) : le vent de la révolte gronde.
Nous allons bifurquer de la Candolle vers le fameux mont Pigeot. La monté à été éprouvante et certains moutons commencent à s’inquiéter sur la capacité de leur berger du jour à pouvoir les ramener à l’heure au point de départ. Les cartes se font à la mode et tout le monde y va de son petit commentaire.
10h30 : la rébellion matée (pour combien de temps ?).
Nous bifurquons par le vallon des Ouarres pour attraper la 504. Une belle mais très dure monté est attaquée le couteau entre les dents, enfin à pied pour certains, en alternance bipédie / vélocipédie pour d’autres.
10h55 : quand le doute s’installe.
Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais c’est toujours lors des moments d’accalmie que sont prises les décisions les plus importantes. Le mont 504 est notre lieu de photo de groupe, de partage de pâte d’amande direct from Marc.
11h10 : là ou tout commence en fait.
L’ambiance est à la franche rigolade, mais au moment de reprendre le single en direction du mont Carpiagne, un mouton (que je ne citerai pas par respect et surtout parce que j’ai oublié son prénom) décide, comme ça, de but en blanc, de mettre en péril la position de notre guide (qui s’acquitte fort bien de sa mission d’ailleurs). En effet, estimant (à juste titre) qu’il n’avait plus le temps de mettre un terme à la sortie, opte pour un retour direct aux voitures. Faisant fi des deux –trois commentaires (timides certes) il quitte le troupeau et rentre seul à la bergerie.
11h25 : la révolte sourd.
Avant même d’arriver au mont Carpiagne, l’intégralité du troupeau décide de montrer au pâtre, que n’est pas berger qui veut. Alors qu’il reste le mont Carpiagne à atteindre, la Gineste à traverser, le col Ricard à dépasser, le vallon de Chalabran à parcourir et à rentrer par des chemins plus ou moins autorisés, ouf, le troupeau fonce comme une seule bête et sans concertation vers le premier single venu du nord. Le berger à beau râler, pester, maugréer, rien n’y fait. On ne fait pas boire un mouton qui n’a pas soif.
Le single assez fréquenté par les dynamiques marcheurs du club des retraités du coin est un véritable régal à descendre, trialisant juste comme il faut, il rejoint le départ du vallon de La Barrasse.
11h50 : la rivière sans retour.
Le troupeau y va à cœur joie. Pour échapper au souvenir de la dure révolution qui a eu lieu, une grande partie de trial dans le lit du court d’eau qui parcourt le vallon est organisée.
12h05 : l’heure de la vengeance du berger.
Décidant que la rébellion devait être matée. Notre Guide du jour convainc le troupeau, à grand renfort de GPS, de rentrer par le vallon des Escourtines. Nous enchaînons ensuite par un portage bien velu qui nous fera passer de 152 à 340m d’altitude en moins de mètres qu’il n’en faut pour que je me mette trois fois par terre !!!
12h25 : la délivrance.
Nous fonçons dans le vallon des Escourtines à bride abattue, le sentier assez roulant, serpentant en sous bois est très agréable en fin de sortie. Nous finissons par la route pour éviter d’être encore plus en retard. Nous voilà de retour aux voitures.
12h45 : épilogue.
Malgré une sortie bien préparée, une débauche de technologie à faire pâlir les plus hauts représentants de la NASA, n’est pas Berger qui veut.
Quant à Captain Lolita from Acapulco, ce n’est pas pour cafter, mais ça m’étonnerait qu’elle soit passée par là.
|
Edito / Il flippe / Janvier 2009
|
vendredi 28 mars 2008 |
Écrit par berger_corse |
EDITORIAL
Il flippe. Il va passer au bloc et il flippe. Il va se mettre entre parenthèses au plan sportif pour 6 mois et il flippe.
LE FUTUR CALENDRIER EN AVANT-PREMIERE !
Il est un peu tôt pour dévoiler le calendrier 2009 des moutons, mais l’actualité pousse à la mise en ligne de la page de janvier dès à présent.
Quelques mots d’explication s’imposent.
Le format panoramique constitue le thème de l’année, et chaque photo illustrera une fable.
Dans « le pouvoir des fables », la Fontaine écrivait :
« Le monde est vieux, dit-on; je le crois, cependant
Il le faut amuser encore comme un enfant »
C’est le but.
Vous l’aurez compris, le mois de janvier est dédié à Georgio.
Bon, allez, pendant 6 mois c’est moi le plus vieux. Je flippe !
|
La Blanche
|
jeudi 13 mars 2008 |
Écrit par Grishka |
Incroyable ! Il est 8h50 est déjà nous partons. A peine arrivés au bout du parking, juste avant de se faire bouffer par un énorme molosse, voit-y pas que Marcus anglicanus se pointe avec son bus. 5 minutes plus tard c’est au tour de Lolo. Il a tellement la pression qu’il ne met qu’une seule couche de T shirt ! Nous allons enfin partir quand c’est maintenant au myriapode d’arriver. Le temps d’enfiler son short en jean moulant qui lui tenait lieu de baggy lors de sa dernière sortie en 2003.
En espérant oublier personne, nous sommes 17 : l’Apothicaire, le Berger, Chouchou (déjà ailleurs), Didier MTB, DoumA, Eric, Endurostef, Florent, Fsail, Georgio, Grishka, Lolo, Longlait, M!K, Milpat, Rénato et Thomas.
Pendant que Milpat se prépare, Chouchou prend les devant avec le peu d’explications que lui a donné le chef. On ne le reverra plus.
Nous partons enfin. Le vent souffle, mais il fait beau. On discute le bout de gras :
Le Berger me dit : Moi dans mon pays à Luciana j’ai 42 villas !
Milpat : C’est marrant parce moi qui suis du Roy d’Espagne cette nuit j’ai fait l’amour 42 fois !
Grishka : Eh ben moi je suis du Redon et j’ai un sguègue* de 42 cm !
Et nous continuons ce début de sortie prometteuse avant d’attaquer LA montée : un km de piste à 30 %. L’effort est surhumain et seuls quelques moutons parviendront sans poser une seule fois le pied à terre. Arrivés au col, nous faisons le tour de la tête du Douard par les quatre termes pour l’attaquer côté Mistral. Et côté portage. Car c’est à partir de cet instant que nos VTT ne nous serviront plus à rien du tout. Nous poussons, portons en veillant bien à ce que les vélos ne s’envolent pas. Du coup chacun vagabonde dans ses pensées. Le Berger : Putain ! avec un sexe de 42 cm, je pourrais rouler en le posant sur le cintre … Milpat : Je pourrais me mettre devant un urinoir et pisser dans celui d’à côté …
Nous finissons par arriver à la croix couverts de sang et exténués. Le Berger nous promet une descente d’anthologie. Nous voila aussi sec repartis avec les vélos sur le dos à escalader des rochers acérés et des buissons infranchissables. Au bout d’une demi-heure, le troupeau commence à gronder. Le chef lui adopte la tactique de la fuite. Un véritable sanglier. C’est à cet instant qu’Endurostef se rend compte qu’il a oublié son sac en haut, avec les clés de la voiture bien sûr. Impossible de remonter ce merdier. On continue la progression sur le bas, en jetant les vélos, cassant les branches, maugréant. La mutinerie n’est pas loin. Jean-Louis devient invisible et muet, de la couleur du maquis. Enfin nous arrivons sur le pierrier de Bonygaz, le moral revient, malgré des chutes spectaculaires dans ce goulet ou les pierres ont pratiquement disparues.
Endurostef prend une décision : il part devant pour remonter seul chercher son sac en haut. A peine parti Longlait se pointe avec 2 sacs à dos car il avait récupéré celui de Stef ! Il l’appelle mais le portable est dans son sac. Stef va donc se taper le portage deux fois pour rien.
Un fois sur la piste horizontale, nous remontons pour faire à nouveau le tour du Douard dans l’autre sens. Nous perdons alors Marc. Je fait le point : Stef est en haut à chercher un sac qui est ailleurs, Marc est perdu avec le sac de Stef, Chouchou est dans les choux. Quel joyeux bordel !
Nous redescendons par le premier vallon que nous avons monté et nous voila tous à Coulin pour fêter le carré parfait du Rénato ! Magnum de champagne, tropézienne et tarte.
Aidé par l’alcool le Berger vient se confesser : Grishka, j’ai un truc à te dire. J’ai un peu exagéré sur mon patrimoine corse. En fait j’ai que 2 villas. Et encore. Une bergerie que j’ai loué a mon ami Ivan et qui ne m’a jamais payé et une paillotte que les flics ont brulée !
Entendant cela, Milpat vient ajouter : Et moi je n’ai en fait baisé que deux fois cette nuit, et encore c’est Robert qui a tout fait !
C’est alors à mon tour : Eh couillons, moi aussi je vous ai raconté des bobards, chuis pas du Redon, chuis de Morgiou !
* marseillais sexe masculin
|
BLACK IS BEAUTIFUL
|
jeudi 06 mars 2008 |
Écrit par berger_corse |
Noir, quelle belle couleur ! Au singulier bien sûr. Il n’y a qu’un noir. Plus noir que noir, ça n’existe pas. Moins noir que noir, je me doute, ça doit être gris. Il y a des gris, des roses, des rouges, mais il n’y a qu’un noir. (Sauf en équipe de France de foot où il n’y a qu’un blanc). Quand j’ai compris que je préparais une sortie noire, que nous allions basculer du côté obscur, j’ai pris peur, une peur bleue. Même ma femme s’en est rendue compte, elle m’a dit : « qu’est ce qui t’arrive ? Tu es blanc comme un linge. » (Mais comme je ne lui répondais pas, elle m’a envoyée sur les roses…)
Devinette :
- Quand on étrangle un Schtroumpf, il devient de quelle couleur ?
- Réponse : ?!!!
Bon, il m’incombe aussi de mettre noir sur blanc le résumé de la sortie.
Donc, nous étions douze au départ. Mais par le « prompt » renfort de notre angliche haut en couleurs, nous nous vîmes bien treize à nous élancer de l’ancienne gare de Roquevaire. Mais nous ne sommes pas superstitieux, même s’il est vrai que « Mem », la treizième lettre de l’alphabet Hébreu s’apparente à la mort, et qu’au Tarot, le treizième atout représente la faucheuse.
Devinette :
- Pourquoi les moutons ne rétrécissent-ils pas quand il pleut ?
- Réponse : parce qu’il faisait beau. Froid, mais beau..
Nous nous fîmes d’abord un petit rail, sans encombre. Sauf pour Grishka, c’est ballot, qui se faisait mettre marron par son short coincé dans sa selle et manquait de se ramasser malgré le faible dénivelé (rire jaune). L’attraction dite du « train fantôme », au passage du tunnel devait constituer le moment fort. Mais pas de jeu du torero, le train n’est jamais venu. Nous étions marrons.
Comme certains commençaient à faire grise mine, la sortie prit un virage à 90° et nous partîmes à l’assaut du Marseillais. (Attraction « espace mountaine »)
Les moutons dans Garlaban, c’était cousu de fil blanc. Et encore, j’ai pu éviter de justesse les Dansaïres !
Devinette :
- Pourquoi le pape a-t-il des couilles ?
- Réponse : pour descendre du Garlaban avec les moutons.
Dans la descente, Endurostef jouait les pelleteuses avec son Met parachute. « Fe me fuis bêbe pas fait bal ! » dit-il en crachant des cailloux.
Au total, une sortie facile, dix minutes d’avance à l’arrivée.
Devinette :
- Qu’est-ce qui a deux pâtes et qui saigne ?
- Réponse : un demi mouton.
Nous étions plusieurs demi moutons à l’arrivée, les jambes rouge sang..
PS : J’attends impatiemment la sortie blanche, il parait qu’une blanche vaut deux noires !
|
| << Début < Précédente 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 Suivante > Fin >>
| Résultats 811 - 816 sur 1017 |
|